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Je serais exposant à la bourse aux reptiles de Saint hilaire de Brethmas ce samedi 25 et dimanche 26 Septembre 2010.Voici l'affiche de l'exposition et le lien vers le site web de l'exposition.
Petit compte rendu de la bourse.Après ces deux jours pour ma part assez exténuants, (on est jeunes mais quand même...) voici mon avis, des photos de mes acquisitions et des photos des stands la journée du dimanche.Mon avis par rapport à cette bourse : Le gros point positif est l'ambiance.Les organisateurs sont méga sympas, je m'y suis pris à peu près 3 semaines avant la bourse et pas de soucis, ils m'ont promis un coin de table, je me retrouve avec près de 2 mètres linéaires pour le prix d'un !!!Le matin pour les exposants, petit croissant et café offert, on s'occupe de nous parfaitement. Pour ceux qui habitent loin, des chambres d'hôtel ont été réservées. Le samedi soir, un repas (bien arosé?) avec tous les exposants était prévu.Je n'ai malheureusement pas pû y assister.Pour moi qui suis habitué à la fréquentation des bourses nordistes, je trouve qu'il y avait peu de monde.Ce monde reste à relativiser tout de même car les ventes furent assez bonnes le samedi (le dimanche pour ma part pas grand chose de vendu mais bon je n'avais rien d'exceptionnel ni de diversifé à la vente...).Les visiteurs étaient vraiment sympathiques, (pas de "bahhhh c dégueu ce que vous avez là", "moi je ne pourrais pas toucher") j'ai pu discuter de tout et longuement avec certains d'entre eux.C'était donc l'occasion de faire de charmantes rencontres.Des grands classiques en terme d'animaux disponibles à la vente.
Quelques espèces vraiment pas fréquentes mais je n'ai pas retenu les noms (la prochaine fois je note).En majorité des elaphes, geckos, lampros (y'avait le choix en espèces et couleurs), regius phasés (pour le coup ça c'est pas classique), boas (pareil y'avais moyen de se faire plaiz'), boidés de grosse taille, grenouilles (1 stand uniquement malheureusement on en redemande lol j'étais fan!!!), du gecko à cil du matos (mon voisin), un stand d'arthropodes naturalisés (mon autre voisin) etc, etc...de l'aide au stand !mon stand (pas de nappe, pas de plaque chauffante, des boites à grillon, bref c'est pas net mais bon...)
Voir taille réelleUne elaphe amber de toute beauté !!!!!!Le stand LozherpJ'ai failli craquer sur celle là !!!L'homme à la gachette facile !!!Grand merci à lui pour avoir gardé mon stand de nombreuses minutes pour que je puisse me ballader et discuter avec les autres éleveurs
Voir taille réelle
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Voici les photos de la bourse
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A Chelles, un homme détenait illégalement 123 pythons
Mots clés : Trafic d'animaux, Python regius, Serpents, Chelles, Seine et Marne
Par Marie-Laure Desjardins Publié <time datetime="15-12-2011T12:22:00+02:00;" pubdate="">le 15/12/2011 à 12:22 </time> Réactions (3)
Selon la gendarmerie, il s'agit «d'un passionné qui s'est laissé emporter».
A Chelles, lundi, un homme de 28 ans a été interpellé et placé en garde à vue après la découverte à son domicile de 123 pythons regius détenus illégalement. Une espèce protégée par la Convention de Washington et dont l'importation est soumise à un contrôle.
Ce «petit» python originaire d'Afrique, qui mesure en moyenne 120 cm, compte parmi les nouveaux animaux de compagnie qui font un tabac depuis une bonne dizaine d'années. Le détenteur des animaux, qui ne disposait d'aucune autorisation préfectorale et d'aucun certificat de capacité, est en fait «un passionné qui s'est laissé emporter», explique un enquêteur de la gendarmerie.
Alertée par un de ses membres, la Mutualité sociale agricole a d'abord fait son enquête avant de prévenir les gendarmes qui, en relation avec le comité opérationnel départemental antifraude, se sont chargés de l'affaire.
Des adultes reproducteurs
La perquisition au domicile du contrevenant a permis de répertorier 123 pythons regius (soit 98 serpents de plus que la limite autorisée), dont 80 adultes reproducteurs, des rats et des souris vivantes qui devaient servir de nourriture aux reptiles. Du matériel informatique et des factures ont également été saisies. Le tout avoisinant une valeur d'environ 40.000 euros.
Si certains spécimens ont été mis en vente via Internet (entre 70 et 2000 euros pièce) et ont trouvé acquéreur en Ile-de-France, dans le Nord, en Belgique, ainsi que dans la région de Dijon, la majorité d'entre eux étant destinée à la reproduction.
Des robes de couleurs rares
L'homme, qui a reconnu les faits, cherchait éperdument à obtenir des robes de couleurs inédites. Rares donc chères. Il détenait plus de 400 bacs pour entreposer ses locataires. Laissé en liberté, il est convoqué le 13 janvier pour une audience au tribunal correctionnel de Meaux. Les pythons, qui n'ont pas tous vu le jour en France, ont été placés dans un endroit que la gendarmerie ne peut révéler. L'enquête se poursuit.
Rappelons que l'an dernier, les douaniers ont saisi plus de 11.000 spécimens d'animaux vivants ou naturalisés. Signé en septembre, un protocle de coopération entre la Direction générale des douanes et l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) devrait permettre de mieux traquer les trafiquants d'animaux. Quelque 5 000 espèces figurent aujourd'hui sur la liste des animaux à protéger dressée par la Cites (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvage menacées d'extinction).
Article source : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/12/15/01016-20111215ARTFIG00376-a-chelles-un-homme-detenait-illegalement-123-pythons.php
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A Chelles, un homme détenait illégalement 123 pythons
Mots clés : Trafic d'animaux, Python regius, Serpents, Chelles, Seine et Marne
Par Marie-Laure Desjardins Publié <time datetime="15-12-2011T12:22:00+02:00;" pubdate="">le 15/12/2011 à 12:22 </time> Réactions (3)
Selon la gendarmerie, il s'agit «d'un passionné qui s'est laissé emporter».
A Chelles, lundi, un homme de 28 ans a été interpellé et placé en garde à vue après la découverte à son domicile de 123 pythons regius détenus illégalement. Une espèce protégée par la Convention de Washington et dont l'importation est soumise à un contrôle.
Ce «petit» python originaire d'Afrique, qui mesure en moyenne 120 cm, compte parmi les nouveaux animaux de compagnie qui font un tabac depuis une bonne dizaine d'années. Le détenteur des animaux, qui ne disposait d'aucune autorisation préfectorale et d'aucun certificat de capacité, est en fait «un passionné qui s'est laissé emporter», explique un enquêteur de la gendarmerie.
Alertée par un de ses membres, la Mutualité sociale agricole a d'abord fait son enquête avant de prévenir les gendarmes qui, en relation avec le comité opérationnel départemental antifraude, se sont chargés de l'affaire.
Des adultes reproducteurs
La perquisition au domicile du contrevenant a permis de répertorier 123 pythons regius (soit 98 serpents de plus que la limite autorisée), dont 80 adultes reproducteurs, des rats et des souris vivantes qui devaient servir de nourriture aux reptiles. Du matériel informatique et des factures ont également été saisies. Le tout avoisinant une valeur d'environ 40.000 euros.
Si certains spécimens ont été mis en vente via Internet (entre 70 et 2000 euros pièce) et ont trouvé acquéreur en Ile-de-France, dans le Nord, en Belgique, ainsi que dans la région de Dijon, la majorité d'entre eux étant destinée à la reproduction.
Des robes de couleurs rares
L'homme, qui a reconnu les faits, cherchait éperdument à obtenir des robes de couleurs inédites. Rares donc chères. Il détenait plus de 400 bacs pour entreposer ses locataires. Laissé en liberté, il est convoqué le 13 janvier pour une audience au tribunal correctionnel de Meaux. Les pythons, qui n'ont pas tous vu le jour en France, ont été placés dans un endroit que la gendarmerie ne peut révéler. L'enquête se poursuit.
Rappelons que l'an dernier, les douaniers ont saisi plus de 11.000 spécimens d'animaux vivants ou naturalisés. Signé en septembre, un protocle de coopération entre la Direction générale des douanes et l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) devrait permettre de mieux traquer les trafiquants d'animaux. Quelque 5 000 espèces figurent aujourd'hui sur la liste des animaux à protéger dressée par la Cites (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvage menacées d'extinction).
Article source : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/12/15/01016-20111215ARTFIG00376-a-chelles-un-homme-detenait-illegalement-123-pythons.php